se ballade ( rencontre avec anne )

Monsieur marchait dans les rues de Versailles . il portait de baux haits mais avait l'air très féminin . La qualité des vêtements elle faisait voir qu'il avait un certain rang . Il n'aimait pas trop le montrer mais sa mère insistait pour qu'il soit bien mis . il s'exécutait sans trop protester comme si d'ailleurs il ne pouvait pas le faire . Il regardait autour de lui . Il chechait quelque chose à manger vite fait , il n'avait pas manger le midi il était resté dans son château , il ne voulait pas voir sa mère . il était en même temps très peu attentif . il vit une jolie jeune femme brune arriver . il regarda elle était jolie souriante déterminée . il ne comprennait pas pourquoi il ne ressentat aucun désir pour elle il décida de lui parler .

- Excusez moi belle demoisellle vous ne sauriez pas où je peux trouver de quoi manger rapidement ?

Nombre de messages : 66 Age : 34 Date d'inscription : 28/04/2007

Aujourd'hui Anne était de très bonne humeur. Vous voulez savoir pourquoi ? Et bien tout simplement car la journée d'hier avait été très bonne en compagnie d'Isabelle et qu'elle s'en allait justement la voir. Alors comme à chaque fois que sa petite soeur intervenait dans sa vie elle était heureuse, de bonne humeur et cela se voyait. Aussi marchait-elle dans les rues de Versailles, se disant que la distance qui la séparait de son amie était bien trop longue à son gout.

Mais alors qu'elle ne s'y attendait pas du tout quelqu'un l'interpella. A vrai dire la chose qui l'étonna fut de voir un noble l'interpeller ainsi dans la rue et par dessus le marché en l'appelant "belle demoiselle"

"Il est tombé sur la tête ou quoi !"

Et oui, dans l'esprit toujours aussi extraordinaire de notre petite Brunette, si les gens du peuple la voyait ainsi converser amicalement avec les nobles ils penseraients qu'elle aurait changé de camp. Elle avait une réputation à préserver !

Mais voyant la façon dont était habillé le personnage, il était du "gratin" et ça n'était pas un petit noble de pacotille. Elle s'arrêta donc prudemment, pour répondre à l'inconnu

"Heu .. et bien si à deux rues de la vous pouvez trouvez le marché. Il y a de la nourriture la bas et pas chère;"

Pas chère ! Tu n'avais rien de mieux à dire ma petite Anne comme si ce Monsieur se souciait e l'argent qu'il dépensait, tu es pitoyable ><

Il dévisagea la belle feme . elle avait l'air heureuse enfin jusqu'à se rencontre . vu sa tenue elle ne devait pas faire parti de la noblesse . et il faut avouerque cela lui plaisait les attiudes des nobles il en avait marre . et les réflexions concernant sa tenu il les ignorait mais ignorer c'est entendre tout de même et entendre ça fait mal . il voulait changer d'air enfin paser un peu de temlps dans le peuple et voir comment vivent les jeunes normaux enfin qui ne font pas partis de la famille royal . il chercha une façon dedemander de l'aid à cette jeune femme charmante .

- je vous remercie amplemnt mais croyez vous que vos pourriez encore m'aider . je vous en demande peu être trop ? mais si vous le faisiez je vous en serai tès reconnaissant et je vous dédommagerai largement en louis d'or du temps que je vous fais perdre .

il souria alors . il eu un joli sourire d'ange celuid'un jeune homme de quinze ans qui a besoin des faveurs et de la compagnie d'une jeune femme très sympathique .

il se demanda comment cacher son identité si a jeune emme le lui demanderai il mentirai il en a l'habitude et c'est tellement plus facile pour ne pas paraître différent .

il la regarda elle était habillé de modestes chiffons mais son corps était magnifique et son visage apparraissait comm celui d'un nge . pourtant monsieur ne ressentait rien mis àpart une folle envi de la prendre dans ses bras comme ue amie d'enfance .

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Au premier coup d'oeil ce jeune noble était effectivement jeune, il parraissait avoir un ou deux ans de moins qu'elle. Elle trouvait étrange qu'un jeune homme si "riche" et jeune se promène seul dans les rues de Versailles. Cela n'était pas très prudent de laisser un enfant ainsi vêtu dans Versailles, ça n'était pas pour dire mais il y avait parfois des gens avec des mauvaises intentions.

C'est donc un peu pour cette raison qu'Anne accepta d'aider encore une fois le jeune homme. C'était surement son côté grande soeur qui reprenait un peu le dessus et lui disait de veiller sur le jeune homme jusqu'à ce qu'il soit arrivé à bon port. Après tout Isabelle ne lui en voudrait pas si elle arrivait un petit peu en retard.
C'est cependant avec un rire franc et spontanée qu'elle acceuillit la proposition du jeune homme.

"Je n'ai guère besoin de vos Louis ! Si je vous aide c'est par sympathie et non pour l'argent! Pour qui me prenez vous ?"

Bien sur, techniquement Anne avait besoin de beaucoup d'argent, et si le noble se faisait insistant à la fin pour lui donner quelques pièces elle ne dirait pas non. Elle pourrait ainsi aider ses parents. Mais clairement, Anne n'avait aucun besoin d'argent pour être heureuse, elle se contentait des choses de la vie, pas comme ces nobles gros et gras .... enfin comme celui qu'elle avait gentiment embêté avec Isabelle hier.
Elle reprit avec sérieux:

"Dîtes moi ce que je peut faire pour vous aider et je verrais si je peut vous êtres utiles !"

Mais il ne fallait pas que le jeune homme se m'éprenne. Anne ne comptait pas faire ami amie avec tous les nobles qu'elle croiserait dans la rue. Elle l'aidait juste parce qu'elle craignait qu'il puisse lui arriver quelque chose. Elle attendait donc patiemment la réponse de son interlocuteur, les bras croisés et le visage sérieux

Philippe fut un peu géné de sa réponse face à sa proposition d'argent . il voulait tout de même lui en faire profiter .il trouverait bien une solution pour lui faire accepter ces quelques pièces avant de la laisser .

il vit tout de même que la jeune femme ne portait pas dans son coeur les nobles ; il chercha une mascarade pour cacher son identité et s'accorder sa compagnie un peu plus longtemps .

" je devrais lui dire que je ne suis pas celui que je parais . pourquoi ne suis je pas né comme elle de parents paysans tout aurait été plus simple . je veux une autre vie ... s'il faut que je mente pour l'avoir je mentirai mais je l'aurai !

Il regarda la jeune femme il s'approcha d'elle pour faire preuve de discrétion :

- je ne suis pas celui qu'il y paraît . je suis comme vous je fais parti du peuple. l'argent me manquait temps j'avais faim . et j'ai commis quelque chose dont j'aimerais que très peu de personne soit au courant . j'ai agressé le noble qui portait ces vêtement et j'ai pris sa bourse si vous m'aidez à trouver e quo avoirune tenue moins attirante pour les yeux et me restaurer je vous en serez très reconnaissant et je vous offrirai tout de même quelques louis d'or je sais que la vie n'est pas facile croyez moi .

C'était étrange Monsieur avait l'air plutôt convainquant à croire qu'il passait son temps à mentir . il souria à la jeune femme en espèrant que sa réponse serait positive .

heureusement la rue n'était pas fréquentée par des nobles , personnes ne l'avait reconnu , il était donc anonyme parmis le peuple .

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Le jeune homme se confia à elle comme si il lui confiait un très grand secret. Il lui dit qu'il avait volé les vêtements qu'il portait et qu'il devait en trouver des plus discrets pour se promener à sa guise et puis aussi manger.
Pensez ce que vous voulez mais Anne n'était pas dupe et ne pensait pas que ce qu'elle prenait pour un mensonge était vrai. Après tout le "noble" avait commis une erreur car entre gens du peuple on ne se vouvoiyait pas mais on se tutoyait. Mais peut-être que le jeune homme en question avait ces raisons pour agir de la sorte ... Avec ça Anne se disait qu'elle avait peut-être une raison de plus pour lui accorder son aide ainsi elle pourrait garder un oeil sur lui et savoir réellement de quoi il retournait.

"Si vous le dîtes ! Suivez moi. Je vais vous emmenez au marché, la bas nous pourrons vous trouvez des vêtements et de la nourriture."

Anne se mit donc en marche, le jeune homme à ses côtés. Le marché n'était pas du tout loin, à peine deux rues à traverser. Puis une chose vint à l'esprit de la jeune femme elle ne connaissait même pas le nom de celui avec qui elle était.

Vous savez il faut vous avouez qu'elle avait penser au début que le jeune garçon était un piège envoyer par le Duc de Frolic machin chose pour réussir à l'attraper et pour pouvoir la mettre au cachot. Mais pourquoi envoyer un enfant la ou plusieurs adultes avaient échoué ...

"Je m'appelle Anne et vous ?"

La jeune femme avait l'air d'aoir cru à son mensonge .Philippe en était soulagé . Elle avait accepté de l'accompagné. il serait plus seul et en plus il allait enfin être dans la peau d'un jeune homme normal .

il se demanda s'il n'avait fait acune erreurs et si il n'avait pas été démasqué par la jeune femme . elle avait l'air très maligne .

il marcha à ses côtés sans poser de question . elle avait l'air de connaître le village mieux que lui . il fut dire qu'il ne quittait pas souvent le château . sa mère le surprotègeait . c'était le petit dernier et louis qui recevait son éducation du cardinal mazarin elle ne pouvait pas s'en occuper à sa guise .

quelque chose l'intrigua il avait demandé à acheter de la nourriture mais en avait il réelleent besoin ? elle en avait sen doute plus besoin que lui qui mangeait à sa faim tous les jours . il chercha de nouveau une ruse cette fois pour qu'elle vienne manger avec lui . iln'eut pas trop d'idée il pretexera sûrment la peu de la solitude de l'inconue et l'envi de la remercier .

peu après elle lui demanda son nom . il ne sut trop que répondre et hésita .

"~ dire mon vrai nom serait se découvrir un peu ce serait peut être trop risqué ?
~ ne pas le dire serait mentr à nouveau encore et toujours . je lui dois un peu de loyauté tout de même . "

il répondit donc :

- je me nomme Philippe , je viens du sud de Paris .
Anne est un trè joli pénom mademoiselle .

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hj: Désolé je répondait ailleurs ><

Les deux jeunes gens avaient déja fait presque la moitié du chemin, et Anne se demandait comment cela se faisait qu'il n'y avait toujours qu'elle pour tomber sur les gens les plus improbables. Mais cela ne l'effrayait pas de faire des rencontres inattendues car Anne avait appris à tout prendre du bon côté et elle riait de tout ... même du danger. Elle aurait tout aussi bien pu se diriger tout droit dans un piège elle l'aurait fait avec le sourire.

"Du Sud de Paris ! Vous êtes loin de chez vous Monsieur ! Puis je savoir, si je ne suis pas trop indiscrète ce que vous êtes venus faire à Paris .... à part dépouiller les riches gens"

Elle avait rit en disant ces derniers mots car elle s'imaginait mal voir ce garçon dépouiller comme il l'avait dit un noble mais surtout pour ajouter une pointe d'humour à son discours et que Philippe ne croit pas être espionner. Et oui, si il croyait sans sortir sans questions. Celles ci étaient posés naturellement mais derrière ce cachait la soif avide de tout savoir d'Anne et sa grande curiosité.

"Je vous remercie. Philippe est un nom aussi très original, peu courant dans les rues de Versailles je dois vous l'avouer :"

A croire que dès que les hommes voyaients des robes ils se mettaient à faire des compliments ... sa devait être dans leur gènes. Mais Anne n'allait pas non plus cracher dessus

Philippe étaitravi de se promener avec la jeune femme sa compagnie était agréable . et puis il commençat à oublier qui il était le frère du roi qui se doit d'être comme ci ou comme ça sans liberté ni amusement .

en tout cas la jeune femme elle était rayonnante . il la suivi ils étaient à quelques pas du marché quand elle lui demanda ce qu'il était venu faire à versaille à patt dépouiller les riches , il ne su trop que répondre , puis se dit qu'il fallait dire quelque chose qui ait un semblant de vérité :

- je .. comment vous dire , j'ai des problèmes avec ma famille et j'ai préféré la quitter . mais je sais qu'il me retrouveront vite . je ne suis jamais bien tranquille vous savez .

la jeune femme rétorqua à l'annonce de so prénom que Philippe n'était pas courant à Versailles pourtant lui en connaissaient mais c'est vrai qu'il faisaient parti e la noblesse encore et oujours son rang qui le ramenait à la réalité . il déida de répondre avec humour :

- l'originalité c'est tout moi . vous vous souviendrez de moi alors .

il souria à nos . ils approchaient de la place du marché . Philippe reconnu la bonne du château de saint cloud . il essaya de s'en cacher en bousculant la jeune femme en se dirigeant vers la droite du marché .

[ HS : je vais devoir te laisser par contre dsl je te souhaite de passer une bonne nuit et je m'excuse d'avoir été longue . bisous ]

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"Voila un jeune homme bien mystérieux" pensait en marchant Anne. Bien sur elle savait que tout le monde voulait garder secret son jardin "secret", mais malgré cela il l'intriguait. Il n'avait rien d'un homme du peuple ça Anne en était sur, c'était son intuition qui le lui disait et elle ne s'était presque jamais trompée en l'écoutant.

Mais sa n'était pas cela qui allait gacher sa bonne humeur. Non, malgré ses doutes Anne était aussi souriante que lorsqu'elle était en chemin pour voir Isabelle.

"Je n'en doutes pas ! Vous êtes le premier Philippe à qui j'ai l'honneur de parler"

Elle ignorait si le Philippe en question avait pu voir le petit éclat de malice qui avait pétillé dans ses yeux pendant qu'elle parlait.

La route qui conduisait jusqu'au marché avait été traversé et les deux jeunes gens et alors qu'ils déambulait au milieu de la route, Philippe la bouscula doucement, les faisant dévier vers le côté droit du marché

"Avez vous remarqué quelque chose ?"

Après avoir tournée la tête, s'attendant à voir des soldats, chose qui pouvait s'expliquer si l'histoire de Philippe était vrai, elle reprit, montrant du doigt un étal dirigé par un vieux Monsieur qu'Anne connaissait bien.

"La bas, nous pourrons trouver tout ce dont vous avez besoin: nourriture, vêtements ..."

Philippe souria à la jeune femme . il essaya de faire divertion pour ne pas qu'elle comprenne qu'il regardait la bonne . cette dernière ne l'vait pas vu mais avait rearqué le passage d'un homme habillé en femme . elle riait en racontant cette anecdote à son amie qui l'avait accompagnée .

Philippe suivit Anne . elle les menait vers une petite étale . où l'on pouvait voir à terre des chifons de toutes sortes , dont les couleurs étaient plutôt sombres et discrètes la qualité du tissu était pour Monsieur comparable à celle d'un sac de pomme de terre . ais il s'en contenterait il voulait faire un tour inconnito . et si pour cela il avait besoin de porter de la paille il l'aurait fait . sur unepetite table à côté on pouvait trouver du vieux pain rassi . et des pommes de terre cuites .

monsieur sortit sa bourse soudin un petit garçon arriva le bouscula pour lui dérober sa bourse . phiippe lui attrapa le poignet :

- eh ! petit ! qu'est ce que tu veux come ça ! ça c'est à moi ! si tu as besin de quelque chose demande mais ne te sers pas comme ça !

Philippe eut alors pitié du petit garçon il acheta un gros morceau de pain rassi avec un seau de pomme de terre et donna le tout au garçon le petit le remercia et partit . tout le monde avait vu l'action sur le marché et regardait monsieur l bonne compris . elle reconnu son maître elle fit une révérence et dit :

- Monsieur le frère du roi . je vous salue bien bas

elle se releva

, vous êtes trop bon , puis je me permettre de demande à monseigneur s'il est aller voir sa mère ? elle vous a fait demander plus d'une fois aujourd'hui .je ne voudrais pas faire les frais de votre absence votre altesse .

Philippe était très gêné il venait d'être découvert il ne savait tro que faire ...

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Ils étaient arrivé à l'étal, et Anne avait laissé Philippe seul, choisir ce qu'il voudrait acheter et en profitait pour parler avec le vieux Monsieur de l'étal qu'elle connaissait très bien. En fait ce vieux Monsieur s'appelait Pierre, non déja beaucoup plus courant que Philippe parmi les gens du peuple, et il était un des amis de ces parents. Ayant travaillé de nombreuses fois avec eux pour les aider, elle l'avait donc vu souvent et ce dès son enfance ...

Alors qu'Anne parlait de tout et de rien, prenant des nouvelles de la famille de Pierre une exclamation ce fit entendre. Elle se retourne vivement pour faire face à Philippe qui tenait par le poignet un petit garçon.
Lorsqu'elle vit cela Anne ne voyait pas Philippe tenant de protéger sa bourse d'un petit voleur, mais un homme vêtu richement tentant de protéger les nombreux bien qu'il avait face à un petit être en ayant beaucoup plus besoin que lui.
Elle ne pouvait se résoudre à laisser faire ... elle se devait de protéger les gens de son peuple, mais avant qu'elle ne puisse faire quoi que se soit Philippe venait d'acheter de la nourriture et de la donner au petit garçon.

Presque aussitôt les traits de son visage se détendire et c'est avec un sourire franc qu'elle s'adrressa à Philippe, voulant le remercier. Elle se disait que ces doutes étaient suremeny faux, après tout jamais un noble n'aurait fait ça pour quelqu'un du peuple ... Philippe devait donc être un véritable chenapant !

"Merci Philippe d'avoir fait cela ... au moins l'argent que vous avez volé aura servit à quelque chose !"

Mais alors que la Brunette qui avait retrouvé toute sa bnne humeur en pensant avoir trouvé un autre homme du peuple aimant faire des misères au noble pour pouvoir ainsi satisfaire les plus petit son rêve s'écroula en des milliers de millairds de morceaux ...

Une femme, surement du peuple, mais vêtue beaucoup plus proprement qu'Anne s'approcha de Philippe et fit une révence ... puis l'appela Monsieur le Frère du Roi ... Monseigneur ...
Tout s'enchaînait beaucoup trop vite dans la tête d'Anne, elle était en face du frère du Roi et non pas d'un petit voleur de pacotille !!! Il lui avait mentit et cela la mit hors d'elle, elle passa donc instantanée de son visage angélique à un visage coléreux, s'énervant contre le jeune homme et se fichant complètement qu'il soit le frère du roi et du fait que tout le monde dans la rue pouvait la voir.

"Comment avez vous osez me mentir ! Peut-être pensiez vous pouvoir vous amusez avec une pauvre simple d'esprit ! Sachez que je ne suis pas une simple d'esprit et que je déteste que l'on se moque de moi comme cela ! N'avez vous aucun honneur !"

Alors qu'elle voulait continuer à s'énerver une main vint se poser sur son bras, c'était Pierre. Sans doute voulait-il qu'elle se calme, car si elle continuait comme ça peut-etre serait-elle envoyé en prison mais elle n'en n'avait que faire ... Elle se dégagea alors violement, puis bousculant Volontairement Philippe elle commença à s'en aller, murmurant des paroles qui n'avaient de sens surement que pour elle:

"Voila qui t'apprendra à écouter les inconnus qui te parle dans la rue et puis quand Isabelle apprendra ça ! Elle aura de quoi se moquer de moi ! Imaginez déja la scène: "Anne" servant de petit chien à Monsieur le frère du Roi ....."

Philippe était très gêné . Il n'avait pas prévu que la bonne le remarque . et la réaction d'Anne futtelle qu'il éprouva alors une culpabilité monstre . Il se décida donc à se faire pardonner mais comment ? telle était la question . la jolie brunnette l'avait busculé il en avait presque perdu l'équilibre mais s'était ratrappé sur l'étal de son ami . ce qui fait que tout était tombé il s'excusa :

- excusez moi monisieur , ne vous inquiètez pas je rembourserai tout même plus !

Il se précipita derrière anne qui partait à grande foulées très énervée . il lui attrapa le poignet . cette dernière se retourna et giffla Philippe . l'intensité du coup lui fit une marqu ebien rouge sur le visage . maisp eu lui importait il était en tord et l'avait amplement méritée . Il ne lacha pas pour autant le poignet de la jeune femme . il le tira vers lui :

- vous avez raison frapper moi ! j'ai mérité bien des giffles de votre part .mais permettez moi de m'expliquer je vous en prie .

Il avait la mine d'un enfant battu c'était peut être un peu exagéré pour Anne mais pour Philippe c'était pleinement ça . il avait essayé d'être quelqu'un de normal mais son nom l'avait rattrapé . il ne serait jamais libre de vivre normalement il serait toujours le frère du roi . il en était tellement malheureux que la simple évocation de son frère le mettait dans tous ses états .

il décida d'employer les grand moyens pourpaler à Anne :

- de toutes façons je ne vou lache pas tant que je n'ai pas pu m'explquer . et cela même si je dois aller avec vous toute la journée .

Philippe était déterminé . Il voulait s'expliquer plus qu'autre chose . alors attendra le temps qu'il faudra .

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Alors qu'Anne traversait la foule en ruminant de colère, une deuxième main vint s'accrocher à son poignet. Qu'est ce qu'ils avaient tous à vouloir l'empêcher de faire ce dont elle avait envie, ce croyaient-ils tous permis. Alors s'en chercher à savoir qui lui tenait le bras elle se retourna et giffla l'individu ne se rendont compte que après que c'était Philippe.
Un petit soupçon de remord la parcourut, après tout Philippe n'était qu'un enfant à ces yeux, un jeune adolescent, pas encore un adulte comme elle.
Enfin Anne se comparait à un adulte bien que son caractère n'y ressemble pas du tout, elle avait plutôt à cet instant l'humeur d'une enfant !

"Lachez moi !"

Mais apparement le jeune homme semblait déterminé à ne pas lacher. Anne avait beau tirer sur son bras, Philippe avait une forte poigne et ne relachait son bras. La jeune femme repensait à giffler volontairement le frère du Roi, mais le faire comme cela serait signer son arrêt de mort. Et Anne se trouvait encore trop jeune pour mourir.

"Il n'y a rien à expliquer. Vous avez trouvez une pauvre sotte dans la rue pour vous amusez et malheureusement vous n'avez pu exécuté correctement votre plan car quelqu'un vous à reconnu."

Cela la mettais dans une fureur noire de s'être fait avoir comme cela, alors que d'habitude c'était elle qui trompait les nobles.
S'adressant de nouveau à Philippe, elle avait des yeux noirs de colère, car elle avait été très bléssé humainement mais aussi dans son amour propre

"Et bien préparez vous à m'accompagner pendant le reste de la journée !"

On allait savoir qui serait le plus têtu des deux et Anne pariait sur elle. Sans un autre regard pour le jeune homme, elle reprit sa marche tirant du mieux qu'elle pouvait sur son bras pour pouvoir avancer même si cela voulait dire trainer Philippe avec elle ...

Philippe qui était d'une nature douce, avait décidé de s'excuser de son comportement de petits enfants riches qui voulait voir ce qu'était la vie d'un vrai enfant de son âge enfin de l'expliquer au moins à la jeune fmme . celle ci avait décidé de ne pas lui parler et ne voulait même pas l'écouter . philippe faisait preuve d'une forte poigne pour arder le poignet de la demoiselle entre ses main et donc pouvoir la suivre . elle avançait d'un pas vif et franc . et il était persuadé que tôt ou tard elle le gifflerai à nouveau ou qu'elle le traînerai dans un endroit où il ne serait pas assez agile pour la suivre il trébucherai et lui fausserait compagnie . Philippe y pensait il allait finir traîné dans la boue et avec une haine démesurée de la part d'une jolie bruneau fort tempérament . il n'en voulaitpas .les confits il detestait sauf ceux avec son frère ceux là il les bénissait en espèrant qu'un jour il pourait ne plus être le frère du roi mais être simplement Philippe d'Orléans un jeune oble qui aime son maître d'armes et qui veut faire sa vie simplement . il suivait donc la demoiselle :

- soyez en sûre mademoiselle je ne lacherai votre bras sous aucun prétexte . je m'expliquerai et vous pouerz repartir à vos occupations en oubliant avoir rencontré l'abruti que je suis .

ils continuèrent à avancer la route était défoncée et un pavé ressortait philippe trébucha et entraina par la même occasion Anne à terre . ils étaient tout deux à terre Philippe audessus de la jeune femme . une charette pouvait passer à tout moment ...

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"Et bla bla bla ...."

Réaction très puérile de la part d'une jeune femme se considérent comme adulte à part entière. Oui mais voila, elle avait décidé de ne pas écouter Philippe et elle ne faillirait pas à sa parole. Peut-être que si elle réussisait à arriver jusque chez Isabelle saine et sauve, celle-ci l'aiderait à se défaire de la sangsues qui lui collait au bras.

Mais alors qu'Anne pensait que jamais rien de pire ne pourrait lui arriver après ça, Philippe trébucha l'entrainant avec lui dans sa chute. Comme quoi il ne faut jamais dire jamais.
Voila qu'Anne se retrouvait allonger sur les pavés de Versailles, Philippe au dessus d'elle.

"Poussez vous que je puisse me relevez !"

Anne était en train de battre le reccord du comportement désagréable en un temps reccord. Mais elle était trèèès énervée, et elle n'avait envie que d'une chose: crier sa frustration ! Oui, elle était frustrée de s'être laissée berné par un homme plus jeune qu'elle et de plus un noble.
Le problème était que comme Philippe lui tenait fermement un des bras elle ne pouvait l'utiliser pour le repousser et se relever.

"Vous ne croyez pas que les gens de votre espèce détruisent mas vie plus qu'il n'est nécéssaire alors pourquoi est ce que vous ne me laissez pas."

Philippe était gêné : son attitude était monstrueuse en versla jeune femme , il se retrouvai à terre sur elle , elle ne pouvait pas se lever par sa faute . il se réolu à essayer d'être le plus courtois possible . il seleva en tenant toujours le poignet de le jeune femme . puis l'aida à se relever une fois debout :

- excusez ma maladresse je vous prie , j'essayerai de prendre gare au terrain dès à présent , nous pouvons donc continuer votre chemin .

Monsieur suivait la jeune femme sans rien dire . Il était persuadé qu'elle accepterai un jour de l'écouter . quand là était la question . mais il espèrait c'était l'essentiel . elle avait l'air très énervée et cela était entièrement la faute de Philippe il devait se faire pardonner ... même s'il devait passer la journée à suivre une jeune femme du peuple .

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Comme si être courtois et poli allait changer quelque chose ! Si Philippe croyait qu'il pourrait l'acheter avec cela il avait tout faux. Par contre ce qui commençait à gênée la jeune femme c'était tous ces regards qui convergeaient vers elle. Tous ces gens devaient la prendre pour une folle à se conduire ainsi avec Monsieur, le frère du Roi ...

"Non je vous moquez pas de moi"

Alors Anne marcha avec sa fougue habituelle jusqu'à une des extrémités de la rue en pensant que ainsi elle pourrait parler plus librement à l'abri de certains regards indiscrets. Elle se mit à chuchoter, essayant de se contrôler pour ne pas réhausser le ton et s'énerver

"Ecoutez, vous avez beau être de sang Royal, je ne vais pas supportez votre manège bien longtemps. Alors je vous laisse le choix: Ou bien vous me lachez et je vous donne deux minutes pas une de plus pour vous expliquer ou bien je me ferais une joie de vous giffler une nouvelle fois même si cela signifie passer la nuit au cachot"

C'est en tapant du pied qu'Anne attendait impatiemment que le jeune homme lui réponde. Et puis après tout elle c'était faite une raison, si elle devait giffler le jeune homme pour qu'il la laisse tranquille et qu'elle allait par la suite au cachot et bien elle aurait un exploit à raconter à Isabelle et à ses futurs petits enfants ....

Philippe était soulagé , il avait réussi à faire s'arrêter la demoiselle et lui accorder un peu de son temps . il lacha la main de la jeune femme . il réfléchit à ses mots quelques instants puis dit gravement :

- écoutez , je tenais à m'excuser , je n'ai jamais voulu me moquez de vous ou bien même vous utiliser pour m'amuser , j'ai voulu simplement passer une journée comme un vrai jeune homme de mon âge et non comme le frère du roi qui a un rang un emploi du temp un language atenir sans profiter de la vie telle qu'elle est , elle est dure pour vous je le sais mais quel meilleur moyen que de e mettre à la place de ceux qui souffrent pour mieux les comprendre . j'en ai plus qu'assez qu'on me mette le chapeau monsieur le frère du roi et qu'on me prenne pour je ne sait qui , je suis un homme qui veut vivre simplement vire mais je crois que je n'y arriverai jamais et que je serais toujours le
frère du roi ! voilà vous savez tout je peux vous laissez aller à vos occupations en espèrant que vous m'en voudrez moins et que vous oublierez le mal que je vous ai fait . aurevoir mademoiselle !

Philippe tourna les talons et s'en alla ...

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Oh moins Philippe avait tenu sa parole et voila qu'elle venait de récupérer son bras. Il est aussi vrai que dès qu'elle en retrouva l'usage elle fut tentée de s'enfuir en courant pour ne pas avoir à écouter les "excuses" du jeune homme, mais elle fit un effort sur elle et resta les bras croisées et le regard noir ....

Mais son regard noir diminua en intensité au fur et à mesure que Philippe parlait. Elle n'acceptait toujours pas le fait qu'il lui ai mentit car elle répugnait le mensonge, mais elle en comprenait la motivation. Il était difficile pour Anne de concevoir d'un noble pouvait préférer en quelque sorte sa vie à celle qu'il menait, mais après tout si cela existait c'était un point plus que positif. Elle l'écouta donc sans jamais le couper mais malheureusement sa concentration était tellement grande qu'elle mit au moins deux secondes à se rendre compte que Philippe avait terminé son petit discours et qu'il avait fait demi tour et s'en allait déja se frayant un chemin dans la foule.

Que devait-elle faire ? Partir, le rattraper et lui dire qu'elle lui pardonnait, qu'elle comprenais son geste ... Plus elle réfléchissait et plus Philippe disparaissait au loin.

"Aaahhh"

Complainte étrange pour les passant. Anne offrait un spectacle assez interressant car ce petit cris n'étais autre qu'un cris de frustration que retenait Anne depuis un moment tout en levant les bras au ciel.
Après cette petite démonstration elle courut derrière Philippe qui tournait déja au coin de la rue. Elle bouscula même une personne dans sa course quasi éffrénée pour rattraper le frère du Roi de France ... si Isabelle la voyait faire !

Alors que celui-ci s'engageait dans l'autre rue Anne lui attrapa le bras comme celui ci l'avait fait avec elle auparavant. Elle baissait à présent les yeux comme une petite fille prise en faute qui tente de se faire pardonner et qui à honte de ses actions ... En clair elle regardait le sol au lieu du visage du Prince.

"Excusez moi ..."

Anne ne savait pas quoi dire à vrai dire, elle ignorait tout de la situation dans laquelle il était. Elle n'avait pratiquement jamais envié la vie qu'avait les nobles trouvant la sienne bien trop amusante et enrichissante.
Mais c'est avec un petit rire qu'elle termina sa phrase, les yeux toujours rivés sur le sol ... comme je vous l'ai dit déja plusieurs fois: imaginez la réaction d'Isabelle si elle voyait sa grande soeur pactiser avec l'ennemi ^^

"Gravez bien ces excuses dans votre tête car c'est la première fois et la dernière fois qu'Anne Girond s'excuse devant un noble de son comportement !"

Seulement après cette petit tirade humoristique, mais néamoins vrai dans son esprit, elle s'autorisa à relever timidement la tête

Philippe avait tourné les talons depuis longtemps quand Anne lui attrapa à son tour le poignet il fut étonné de l'entendre s'excuser . il s'attendait simplement à un peu moins de rencoeur il avait été très incorrect et en était conscient . il tenait donc à ne pas importuner la jeune femme plus longtemps .

Comme il lui avait proposé au début de leur rencontre il voulait lui donner un peu d'argent en récompense de son amabilité pour le guider . il savait très bien qu'importe qui on est ce que l'on veut ou par qui on l'a quand on fait parti du puple on a besoin d'argent .

il parla puis au cours de ses paroles lui tendit une bourse .

- je ne vous en demandez pas tant mais sachez que je refuse vos excuses vous n'êtes en aucun cas en tord . je suis le seul fautif et je ne supporterais pas que vous vous sentiez responsable de quoique ce soit . un temps tenez . je vous remercie de m'avoir montré où me ravitailler et je vous dois bien ça pour tous les ennuis que je vous ai causés .

Il lui souria si elle refusait il ne saurait trop comment l'obliger à accepter sans paraître autun alors il espèrait .

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Anne roula des yeux lorsque Philippe lui tendit une petite bourse. Ne lui avait-elle pas dit au début de leur rencontre qu'elle ne voulait pas de son argent, a croire qu'il était têtu ! Oh bien sur elle en avait besoin, même si ça vie n'était pas des plus misérable cela lui permettrait de mieux vivre. Mais elle savait aussi pertinement qui si un garde ou un noble peut scrupuleux la trouvait avec la bourse dans la main il la lui prendrait prétextant qu'elle l'aurait volé à quelqu'un.

"Gardez votre argent, je n'en n'ai pas besoin."

Belle façon de mentir mais tous chez elle disait bien qu'elle avait besoin de ces quelques pièces ... Mais il y avait aussi sa fierté qui l'empêchait de tendre la main et de tendre la bourse, car cela reviendrait à avoir accepter l'aide d'un noble. Que feraient ces parents à sa place .. et Isabelle ?

"Et moi je tient à ce que vous accepter mes excuses. J'ai été odieuse avec vous, et même si je n'apprécie pas vraiment votre mensonge j'aurais au moins du vous écouter !"

Philippe ne savait pas ce à quoi il renonçait ! Anne ne s'était jamais excusé devant quelqu'un qui avait un rang social plus élevé que le sien. Elle venait de faire quelque chose d'extraordinaire, elle avait même fait un effort sur elle même et elle ne voulait pas que cela soit pour rien.

"Puis je savoir ce que vous comptez faire à présent ?

Philippe fut surpris par la réaction d'Anne et se résolu à accepter malgré son grand tord les excuses de cette dernière .

- Je les accepte mademoiselle mais sachez que la seule personne en tord ici est moi-même .

Philippe ne voulu pas qu'elle refuse cette argent il décida donc d'insister fortement .

- cet argent vous reviens de droit si le fait que vous le recevez de ma part vous dérange je le laisse à terre et vous le ramasserez si des gardes vous arrêtes à caus de sa ossession faites moi appelez et je leur ferai compredre leur erreur !mais acceptez vous n'êtes pas noble à ce qu'il en paraît vous ne bénéficiez donc d'aucune rente de l'état prenez donc ceci pour un dédomagement de ce désaventage .

elle lui demanda ensuite où il comptait aller . il hésita avant de répondre puis dit dans sa barbe .

- je vais marcher un peu en espèrant trouver de quoi cacher qui je suis et vivre un peu en homme normal .

Il laissa la bouse derrière lui et s'appreta à partir .

- au plasir mademoiselle .

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Et voila qu'elle se retrouvait avec dans les mains une grosse brouse bien remplit. Anne était partagée entre deux sentiments: d'un côté elle savait que cet argent serait très utile à sa famille mais en même temps cela la blessait dans sa fierté de devoir accepter cette argent de la part d'un membre de la famille royale et de n'avoir rien fait de concret pour le gagner ...

C'est avec un petit rire désabusé qu'elle répondit à Philippe:

"Vous savez, les soldats de Versailles me connaissent plutôt bien et je ne pense pas que leur demander une audience auprès de vous serais une bonne chose ! Il me croirait folle !"

Et oui, Anne et sa petite soeur Isabelle étaient bien connue des autorités de la ville. Et il y avait un ou deux sergents qui devaient espérer jour après jour les prendre la main dans le sac pour les arrêter.

Il était vraiment étrange d'entendre de la bouche du Frère du Roi lui même qu'il trouvait sa vie peut-être monotone, après tout il souhaitait vivre comme un homme normal ... mais pour Anne sa vie n'avait rien de normal, elle était misérable et indigne la plupart du temps.

"Si vous le désirez nous pouvons passer chez moi et la bas je vous trouverais bien quelque chose qui fera l'affaire pour passer inaperçu !"

Aussi elle lui avait dit ces choses alors qu'il s'apprêtait une nouvelle fois à partir. Elle avait d'ailleurs un peu hésité à lui proposer cela, se demandant à vrai dire comment réagirait Isabelle si elle la voyait avec le Frère du Roi ... Peut-être qu'elle mourrait d'un coup ! ><

Philippe fut étonné une jeune femme qui avait été courtoise avec un noble était connue des gardes de versailles .

- vous n'avez pourtant pas l'air si audieuse ?

Phippe réfléchit . il lui signera un papier pour certifier qu'elle a travailllé pour mériter cet argent . la jeune femme deviendrai en quelque sorte sa protègée de droit . Phiippe était de nature protecteur et puis s'il pouvait faire quelque chose pour elle il ne s'en priverai pas .

- mademoiselle chez vous vous me donnerez de quoi écrire et je vous signerai une décharge qui certifiera comme quoi quoi qu'il arrive rien ne poura vous être reprocher souspeine d'avoir à faire à moi .

Philippe vivait bien ans son monde : comment une famille de paysan pouvait elle avoir de quoi écrire chez elle ? si elle avait de quoi manger c'était déjà bien un miracle .

Philippe la suivit .

- c'est avec plaisir mademoiselle que j'accepte votre aide . je serais enchanté de connaître votre famillesi ma compagnie ne vous dérange pas je ne veux pas m'imposer je crois que je vous ai déjà assez importurné .

» Anne d'Autriche